À Propos

 

1 français sur 3 rêve d’être édité. Cette statistique, vous l’avez sans doute déjà vue plusieurs fois. Et vous vous êtes peut-être reconnu dans ce tiers un peu flou d’aspirants écrivains. J’imagine que ce que vous avez envie de savoir, maintenant, c’est comment intégrer le tout petit pourcentage de ceux qui n’ont pas fait que rêver ce projet de livre. Vous voulez faire partie de ceux qui sont passés à l’action ? Mais vous ne savez pas comment faire pour écrire un livre ? Vous savez quoi… j’étais exactement comme vous il y a quelques années. Et si je vous expliquais comment j’ai fait pour écrire plusieurs romans et être éditée par 3 grandes maisons d’édition, tout en travaillant à plein temps ?

 

Etre écrivain, en plus du reste

Alors, faisons simple et efficace, je m’appelle Cécile Hennerolles. 1,58 mètre, 2 enfants, un travail à temps plein, la quarantaine pétillante (enfin, surtout le week-end), et 3 romans au compteur (pour l’instant !).

Je ne vais pas être très originale en vous disant que j’ai toujours aimé écrire des histoires (bien que je ne sois pas du tout issue d’une famille de lettrés). Que je m’éclatais à faire des rédactions. Et que j’ai souvent été tentée à l’idée de participer à des ateliers d’écriture. J’imagine que c’est également votre cas.

Je ne vais pas non plus être très originale en vous disant qu’en devenant adulte, cette passion pour l’écriture a été reléguée au fond d’un tiroir. Bien rangée sous des piles d’années d’études à enchaîner, de frigos à remplir, d’enfants à fabriquer, puis à élever, de responsabilités à endosser, de montagnes de linge à laver, à repasser, à ranger, etc.

Plus trop question d’écrire un best-seller et de se faire éditer par une grande maison d’édition. Devenir écrivain n’était pas une option envisageable dans ma vie. Pour moi, écrire un livre et convaincre un éditeur de le publier, ça n’existait même pas.

N’insistons pas, vous connaissez cela tout aussi bien que moi, n’est-ce pas ?

Bref, une fille normale, avec une vie normale. Et pourtant, il y a eu un moment où ça a basculé (heureusement).

 

Comment on décide d’enfin écrire un livre ?

C’est lors d’une séparation amoureuse que les choses m’ont rattrapée. Vous savez, lorsqu’on se sépare, on entend plein de trucs. Des reproches, des encouragements, des avertissements, des menaces… Bref.

De cette période agitée, je n’ai retenu que deux choses (sans doute les seules qui valaient la peine d’être retenues). Deux phrases qui tournaient en boucle dans ma tête, sans que je ne sache pourquoi.

 

  • « Rien ne justifie de vivre une vie petite ». C’est la phrase qui a tout déclenché. Une phrase qui n’avait l’air de rien, prononcée par un médecin alors qu’il me prenait la tension. Et punaise… il avait raison ! Le lendemain, je décidai de stopper le train en marche et de descendre pour vivre une vie qui en vaudrait vraiment la peine. Même si je n’avais aucune idée de ce à quoi elle ressemblerait (et que rien ne laissait présager que cela aboutirait à l’écriture d’un roman).

 

  • « Maintenant, la seule responsabilité que tu as, c’est d’en faire quelque chose de bien. Sinon, tout cela n’aura servi à rien ». Eh oui, c’était bien beau de se retrouver seule avec deux enfants, dans un appartement minuscule et mal isolé, avec un job insipide et des angoisses nocturnes (je grossis à peine le trait…). J’avais 35 ans. Il était temps de me réveiller et de me poser ENFIN la seule véritable question importante : qu’as-tu donc fait de ces rêves qui te faisaient vibrer ?

 

Alors, j’ai décidé de remettre de l’ordre dans le chantier monumental qu’était devenue ma vie et d’y faire de la place pour un de ces rêves d’enfant que j’avais laissé de côté. Je me suis (re)mise à écrire. Le soir, après avoir couché les enfants. Sur la table du salon, dans un appartement un peu miteux. Sur des carnets, en allant au travail. Sur des post-it, quand il le fallait.

Ça me faisait vibrer, d’inventer des personnages attachants, de construire une histoire intéressante, et de passer petit à petit d’un plan détaillé à un roman à part entière.

 

Être édité, un rêve qui peut devenir réalité

Et je crois que j’étais douée pour ça, finalement.

Car rapidement, une éditrice qui avait reçu mes premières pages, me dit « Cécile, si vous allez au bout de ce projet, ça m’intéresserait de le lire ».

Waouh ! Tu parles que je suis allée au bout de ce projet !

 

Deux ans plus tard, j’avais déménagé, changé de boulot, avancé. Et ce projet, c’était devenu un livre. Ça s’appelait Vladimir et Clémence. Et c’était publié aux éditions Grasset. Quel bonheur d’être éditée par une chouette maison d’édition !

Et j’ai même récidivé joyeusement ensuite, puisque j’ai publié deux autres romans en 2019. L’un en littérature jeunesse : Les enfants terribles de Bonaventure, chez Magnard. Et l’autre en littérature générale : Dites-moi des choses tendres, chez Eyrolles.

 

Pourquoi je vous dis tout ça ?

Si je vous raconte ça, ce n’est parce que j’aime particulièrement raconter ma vie. C’est juste pour vous dire que c’est possible !

Ce livre que vous recommencez sans cesse et que vous ne réussissez pas à achever. Ce manuscrit que vous cachez au fond d’un tiroir sans oser l’envoyer. Cette histoire dont vous sentez qu’elle pourrait aider tellement d’autres gens.

Tout ça, c’est possible. Écrire un livre, aller au bout, être édité. Il suffit d’oser. Il suffit d’y croire. De ne pas renoncer. De ne pas écouter la petite voix de la peur qui vient vous auto-saboter et vous dire que vous n’y arriverez jamais. Que ce n’est pas pour vous, tout ça.

Si je l’ai fait, pourquoi pas vous ?

Vous la sentez toute cette énergie que je déploie pour vous en convaincre ? C’est parce que je sais que c’est possible.

 

Et si on tentait l’aventure de l’écriture ?

Laissez-moi vous montrer comment reléguer Netflix à la 150ème place sur la liste de vos priorités (et sans un seul regret).  Laissez-moi vous expliquer quelle est la meilleure façon de commencer à écrire un livre (je vous donne tout de suite un scoop, il n’y en a qu’une : commencer). Suivez-moi sur le chemin passionnant de la relecture-correction (ok, j’en rajoute un peu, là).

On ne va pas se mentir, un projet d’écriture demande du travail. Écrire un livre, ça ne s’improvise pas. Et être édité n’est jamais facile. Cela demande de l’organisation, de la persévérance et de l’énergie. Mais c’est à votre portée.

Ça en vaut tellement la peine. Croyez-moi.

Ça en aura valu la peine lorsque vous écrirez le mot fin. Lorsque vous signerez votre premier contrat d’édition. Lorsque vous recevrez un carton rempli de livres avec votre nom (VOTRE nom) dessus. Ça en aura valu la peine lorsque vous croiserez votre voisine et qu’elle vous dira « J’en suis au chapitre 6, et j’étais sûre que ce gars-là avait quelque chose à cacher ».

Ça en vaut la peine ! Alors laissez-moi vous y aider.

 

Si vous souhaitez en savoir plus sur mon activité d’auteur et sur mes livres, je vous invite à faire un petit tour sur mon site d’auteur 🙂

Et si je vous ai convaincus de tenter l’aventure, alors voici par où commencer.